Cette sculpture représentant une scène de chasse, signée Marie-Anne Collot, a été restaurée principalement au niveau de la base. Les pattes du lévrier et plusieurs doigts cassés ont également nécessité une intervention minutieuse.
La figure féminine semblait tenir un objet dans la main, mais malgré des recherches approfondies, il n’a pas été possible de déterminer sa nature. Par respect pour l’œuvre et selon les principes déontologiques de la restauration, aucun ajout n’a été fait : la main a été laissée telle quelle afin de ne pas altérer la lecture originale de la pièce.



